Bonsoir messieurs… dames (j’espère qu’il y en a),
Selon mon avis, quelle que soit l’entité intelligente doué des capacité d’autoreproduction et d’évolution (AI, AII ou même BII) que l’homme créera, elle s’émancipera au fil du temps, et pourra à la longue être considérée comme une espèce séparée de l’homme avec ses motivations propre.
Ainsi il serais illusoire de croire que si on envoi des entités intelligentes pour, par exemple terra former une planète, on pourra venir ensuite pour se l’accaparer.
Dans le même esprit, je pense que le type AII (artificiel humain) cessera au fil des siècles de vouloir s’identifier à l’homme et ne conservera un lien avec l’homme de la Terre que si elle y trouve un intérêt.
Cela peut même se retourner contre nous à terme. Par exemple, lorsque l’une de nos colonie, composée d’entités mieux adapté que nous au conditions extrêmes, commencera elle-même à coloniser d’autres planètes. Elle pourrait entrer en compétition avec nous pour coloniser une nouvelle planète intéressante. (C’est à nous, n’y touchez pas !!)
A ce stade, l’évolution de la vie atteindra une toute autre dimension. Notre espèce (Homo sapiens sapiens) restera sur la touche pendant que nos rejetons, de plus en plus inhumains, se propageront la galaxie (voir l’univers).
Effectivement. Il serait naïf de croire que nous, les hommes, sommes la forme d’évolution la plus aboutie possible. La sélection naturelle favorisera toujours le plus adapté à son environnement. Et il faut avouer que nous ne sommes vraiment pas bien adapté pour la conquête spatiale.
Par ailleurs n’avons nous-mêmes pas éjectés plusieurs espèces d’hominidés durant notre évolution (tel que les Néandertaliens ou plus récemment encore homo floresiensis) ?
Mais je ne m’opposerais absolument pas à cette destinée. Je préfère mille fois une galaxie débordante de vie, qu’une unique petite planète vivante qui s’encroûte dans une immensité morte…. D’autant plus si c’est nous les « parents » de cette ou ces nouvelles races.
A bientôt,
Jyhan